Cette nouvelle présentation de Barbara le 1er décembre (à 9h15 à l'Université de Toulouse - Le mirail, salle D31) portera sur "L'art du bronzier gaulois", à partir des objets de Tintignac. Les autres interventions sont également très intéressantes. A ne pas manquer !
Si vous ne les avez encore pas vus en vrai et même si vous les avez déjà vus, l'émotion est toujours au rendez-vous. Alors n'hésitez pas à aller visiter l'exposition au Musée Saint-Raymond de Toulouse (Place Saint-Sernin), du 28 novembre 2009 au 28 février 2010, entre 10h et 18h. Attention : fermeture les 25 décembre et le 1er janvier. Allez-y nombreux ! Ce sont les deux premiers objets restaurés. Les autres attendent toujours leur tour dans leur emballage sous vide... Imaginez la taille et la démesure de la future exposition, quant les 7 trompettes (certes, moins complètes que celle-ci), les 10...
En 2009, un petit couteau long de 6,5 cm, à la lame en fer brisée, a également été découvert dans les niveaux du début de la période gallo-romaine. Son manche en bronze était visiblement orné d'incrustations. Là encore, je suis à la recherche de références, en contexte cultuel ou non. Ce type de couteau, trop petit pour être fonctionnel, est-il courant ? Quel est son rôle ? Intervient-il uniquement comme offrande ? Doit-il être comparé aux armes miniatures des époques plus anciennes ?
Le secutor, littéralement, le poursuiveur, est le nom donné à une classe particulière de gladiateurs dressés à combattre avec les retiarii. Ils devaient ce nom à la manière dont ils poursuivaient tout autour de l'arène l'adversaire qui, en jetant son filet, avait manqué son coup, et qui, étant complètement dépourvu de toute armure défensive, se voyait forcé de prendre immédiatement la fuite jusqu'à ce qu'il pût réussir à ramasser son filet pour le lancer une seconde fois. Les armes du secutor étaient une épée et un bouclier (Anthony Rich, Dictionnaire des Antiquités Romaines et Grecques). Lors...
Les travaux d’aménagement et de valorisation du sanctuaire gaulois de Corent en Auvergne sont à l’origine d’une découverte inattendue : un dépôt regroupant plusieurs armes en fer, un élément d’enseigne-sanglier en bronze ainsi qu’une cotte de mailles en fer pratiquement intacte, vestiges d’un trophée militaire exposé dans l’enceinte du sanctuaire. Un sondage de quelques mètres carré, ouvert sous la galerie maçonnée d’époque romaine, a mis au jour un amas compact d’objets en fer, dont la plupart ont été identifiés après nettoyage. Quatre coques ou « umbos » en fer, fixées à l’origine sur de grands...